Conseils sexo

Nos conseils

Explorez avec nous les multiples facettes de la sexualité. Notre blog offre des informations utiles du Kamasutra au BDSM, en passant par l'utilisation judicieuse des sextoys et des techniques pour raviver la passion dans votre couple. Apprenez à mieux comprendre l'anatomie masculine et féminine et découvrez des conseils sexo pour enrichir votre intimité.
Que vous soyez novice ou averti, nos articles sont là pour inspirer, éduquer et guider vers une expérience sexuelle plus épanouissante. Rejoignez notre aventure pour transformer votre vie sexuelle en un voyage de découverte et de plaisir.

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Les meilleures positions pour brûler un maximum de calories durant le sexe

Et si faire l’amour aidait à perdre du poids ? Ce serait le pied n’est-ce pas ? Bonne nouvelle ! Ces transpirations, essoufflements et courbatures ne sont pas vains. Force est pourtant de reconnaître que les dépenses de calories en faisant le coït ne sont pas les mêmes que celles afférentes au sport à proprement parler pour autant. Reste que c’est toujours mieux que rien. Figurez-vous que l’on en brûle trois fois plus qu’en mouvement de repos. Encore faut-il connaître les positions les plus favorables pour brûler un max de calories. Quoi qu’il en soit, vous faites d’une pierre deux coups en misant sur d’autres pratiques que le traditionnel missionnaire. Autant joindre l’utile à l’agréable Il ne faut pas se mentir, le sexe ne remplacera jamais un programme d’exercices physiques en bonne et due forme. Cela n’empêche qu’il aide à se débarrasser de quelques petites calories. En tout cas, il n’y a rien de mieux qu’une bonne partie de jambes en l’air pour profiter d’un plaisir inégalable tout en prenant soin de sa silhouette. Primo, cette pratique ne demande pas autant de volonté que les sports qui sont plus ou moins intensifs. Par contre, les sueurs font partie intégrante du sexe. Quoique transpirer nu est beaucoup moins pénible qu’avec des survêtements. Le revers de la médaille est que les calories brûlées sont moins importantes dans le cas qui nous concerne. Les études confirment qu’on peut brûler des calories pendant le sexe À l’instar de l’Université de Montréal, nombreux sont les centres et établissements qui s’étaient déjà penchés sur le sujet. Dans le cadre de l’étude menée par celle-ci, une vingtaine de couples a fait des expériences dans l’intention de comparer les dépenses énergétiques lors des rapports sexuels et au cours des activités sportives. Qu’est-ce que dit l’étude sur les calories pendant le sexe ? L’organisme de l’homme et de la femme ne fonctionne pas de la même manière sur ce point. Si le premier brûle 100 calories sur une durée moyenne de 25 minutes en sexe, la femme en est à 69. La logique veut que ces chiffres augmentent avec la prolongation de cet espace de temps qui varie en principe entre 10 et 57 minutes. En comparaison avec une marche à intensité modérée, les efforts payent deux fois plus que dans le premier cas de figure, tant pour les hommes que pour les femmes. Ces résultats ont été obtenus grâce aux données recueillies par un brassard électronique à mettre lors de l’acte. En somme, la gent masculine est capable de brûler 4,2 calories par minute pendant les activités sexuelles alors que côté femmes, le chiffre se situe à 3,1 calories pour le même laps de temps. À chaque étape son impact sur les calories Le sexe, en plus d'être une activité intime et agréable, est aussi une forme d'exercice physique qui peut aider à brûler des calories. Selon plusieurs études, la quantité de calories brûlées pendant un rapport sexuel peut varier en fonction de l'intensité, de la durée et même de la position adoptée. Par exemple, des positions plus actives comme la position debout ou celle où l'un des partenaires est porté peuvent nécessiter plus d'effort et donc brûler plus de calories. À l'inverse, des positions plus passives ou relaxantes peuvent en brûler moins. Les calories pendant les préliminaires Commençons par le commencement. Il faut croire que les préliminaires ne sont pas seulement faits pour stimuler l’excitation. Ils augmentent également les calories détruites surtout dans leur version sportive. Comment choisir ses préliminaires pour perdre des calories ? Pour maximiser la perte de calorie, on privilégie ce qui bouge le plus, par exemple : Une jolie danse sexy juste avant de passer à l’acte : on danse, on tourne, on se déshabille… et on perd des calories ! Des gâteries comme une levrette orale, faites debout plutôt qu’allongée : on n’a pas besoin de vous faire un dessin, non ? Utiliser des jouets augmenterais le nombre de calories utiliser : normal, on s’ecite, on se remue, on bouge pour donner et prendre du plaisir. C’est parfait puisque pour ça on a notre préféré et de loin, surtout quand il faut partager, c’est le Rabbit effet chauffant qu’on adore. Prendre sont temps pour brûler des calories Le choix est évident. Si vous explosez 200 calories pour les coups rapides, la mise est doublée lorsque vous faites les choses dans les règles de l’art. Dans ce cas, que faire lorsque l’orgasme est imminent ? C’est tout simple : il faut lâcher prise et prendre le temps de faire un autre tour, voire deux si votre corps le permet. Figurez-vous que cet effort se répercute indéniablement sur vos dépenses énergétiques. Toutefois, cet objectif ne doit pas être atteint au détriment de la vraie finalité du coït qu’est le grand frisson. Différence entre les positions debout et couchées Les positions debout sont plus rudes que celles qui sont pratiquées en étant couché. Elles sont ainsi plus payantes en termes de calories. Cependant, il faut les pratiquer en connaissance de cause puisqu’elles ne sont pas données à tout le monde dans le sens où elles requièrent non seulement une grande concentration mentale, mais aussi une certaine capacité physique. À défaut de cette faculté, il faut recourir à des compromis à l’instar des postures assises. Dans ce cas, vous serez à mi-chemin entre les deux. La Kamasutra, grand gagnant pour perdre des calories Le sexe intense et les calories vont de paires avec le Kamasutra. Il est évident que celui-ci est deux fois plus éprouvant que le classique. D’ailleurs, quelques positions plus ou moins complexes vont être partagées dans la foulée. Pour les amateurs, c’est sûr qu’il y a de quoi essayer de nouvelles expériences sans compromettre le plaisir. C’est pour cette raison qu’on vous donne quelques conseils pour bien réussir les positions du Kamasutra. Quelques tuyaux en Kamasutra Choisissez parmi ces positions dépendamment de votre état physique. L’homme debout : pas besoin de faire un dessin pour ce premier choix. Si vous tenez une heure avec quelques pauses entre temps, vous parvenez à brûler 360 calories. L’Andromaque Amazone : c’est le top pour faire atteindre un orgasme exceptionnel à une femme. Les efforts fournis correspondent à ceux effectués en abdos-fessiers avec 200 calories brûlées en une heure. La brouette javanaise : c’est sans doute une des positions les plus efficaces. 570 calories en une heure pour l’équivalence d’une heure de vélo. La traditionnelle levrette : optez pour celle-ci si vous n’êtes pas fan des postures compliquées. Vous arrivez à éliminer 540 calories en une heure comme l’on fait en escalade. La posture de l’enclume : un classique qui fait quand même son effet ! A découvrir en détail sur notre compte Instagram. Le pont d’Avignon : avec celui-ci, la femme est plus avantagée, car il fait travailler les fessiers, les cuisses et les jambes à la fois. Avec une pénétration profonde, il vous mène au septièmeciel pendant que vous évacuez 300 calories. Le stretch : à l’instar de la levrette, le stretch n’est pas très difficile à mettre en œuvre. Il équivaut à 170 calories de perdues.   Le plus important à retenir quand on veut perdre des calories Au-delà des calories, le sexe est bénéfique pour la santé mentale et émotionnelle, renforçant ainsi le lien entre les partenaires ! La conclusion, c’est quoi ? Eh bien que peu importe le nombre de calories à perdre, le sexe est bon pour le moral et pour la santé, alors, on y va sans hésiter ! 😘

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La femme fontaine

Faut-il en avoir peur ? Est-ce dû à une anomalie ? Ce phénomène peut susciter de la peur, voir du dégoût chez certaines personnes, notamment parce qu’il est encore incompris, même actuellement. Et pourtant, des recherches scientifiques menées par plusieurs sexologues ont démontré qu’il s’agit d**’une réaction physiologique tout à fait naturelle.** Femme fontaine : comment ça fonctionne dans notre corps ? Anatomiquement, les femmes fontaines n’ont rien qui les différencie des autres. D’ailleurs, le Dr Desvaux, andrologue et sexologue, avait affirmé que beaucoup plus de femmes que l’on ne pense peuvent être fontaine.  D’autres parts, le travail effectué par le Dr Cabello Santa Maria a indiqué que 75 % des femmes étudiées auraient expulsé un liquide au moment de l’orgasme. Le progrès de la science a permis de faire connaître un peu plus ce phénomène et de balayer les préjugés. Néanmoins, il reste tout de même source de frustration, pour certaines femmes, car beaucoup d’entre elles ressentent encore de la honte devant leurs partenaires. Les femmes fontaine sont toutes différentes les unes des autres. Certaines arrivent à les contrôler, tandis que d’autres en sont incapables. Toutes les femmes peuvent-elles êtres fontaines ? Le phénomène vécu par les femmes fontaines est un mécanisme physiologique, ce qui implique que tout le monde en est logiquement capable. Chez certaines femmes, cette éjaculation impressionnante constituée essentiellement de cyprine et d’urine est incontrôlable. Chez d’autres, elle est bien maîtrisée. Comment devenir femme fontaine ? Ce qui est rassurant, c’est qu’être femme fontaine, ça peut s’apprendre. Pour cela, il y a différentes techniques possibles. Néanmoins, il faut savoir que chaque personne est différente, c’est-à-dire qu’il est nécessaire de passer par plusieurs phases de découverte de son corps afin de trouver la méthode adaptée. Par contre, il y a plusieurs conseils qui peuvent favoriser le mécanisme, comme atteindre un état de relâchement optimal, puisque la stimulation et la détente sont les points clefs de ce phénomène. Plusieurs sexologues suggèrent que tout est question d’abandon et que l’expulsion de ce liquide est assimilée à un lâcher-prise total. Les clés pour devenir femme fontaine ? Le rôle du partenaire Selon le sociologue Jacques Salomé, les femmes fontaines seraient, pour la plupart, des femmes ayant trouvé un partenaire sensible et attentif à leur sexe. En effet, pour atteindre cet état et déclencher le mécanisme, il est nécessaire d’être en phase avec son corps, sa sexualité et surtout son partenaire, pour que l’acte soit un moment propice à la détente et non source de stress. Pour les célibataires Il est tout à fait possible de déclencher ce phénomène en étant seule. Des études faites en 1950 ont démontré que la stimulation du point G pouvait être à l’origine de ce phénomène. Il y a donc plusieurs techniques envisageables, comme l’utilisation de sextoys, mais aussi la technique du « Capitaine crochet », qui consiste à introduire deux doigts, en forme de crochet dans la vulve, puis d’exercer une pression douce sur le point G. Cette technique pourrait permettre de déclencher le mécanisme. Les meilleures positions pour délivrer la fontaine La clé dans le concept de femme fontaine, c’est l’excitation. Ensuite, il y a quelques techniques à essayer : Position de la Levrette : Cette position permet une pénétration profonde et un angle qui peut stimuler le point G. Vous pouvez alors toucher votre partenaire avec vos doigts ou un sextoys. Elle peut elle-même se masturber en même temps pour augmenter son plaisir. Position du Missionnaire avec des Oreillers : Placer un oreiller sous les hanches peut changer l'angle de pénétration et permettre une meilleure stimulation du point G. Ensuite, utiliser vos doigts pour faire “crochet” et stimuler délicatement le clitoris en même temps. Position de la Femme au-dessus : Lorsque la femme est au-dessus, elle a plus de contrôle sur l'angle et la profondeur de la pénétration, ce qui peut aider à cibler le point G. Position de la Cuillère : Cette position permet une pénétration plus douce et un angle qui peut être ajusté pour stimuler le point G. Vous pouvez en plus utiliser vos doigts et elle les siens pour augmenter l’excitation. Utilisation de Jouets Sexuels : Certains jouets sexuels sont conçus spécifiquement pour cibler le point G et peuvent être utilisés seuls ou avec un partenaire pour explorer cette sensation. Vous pouvez par exemple tester notre jouet spécialement conçu pour le Point G qui vous aidera à réaliser cette lourde tâche de permettre à votre partenaire de devenir une femme fontaine ! Y a-t-il une différence entre la femme fontaine et l'éjaculation féminine ? Femme fontaine et éjaculation féminine sont tous deux des sujets parfois tabous. Bien que les deux concepts peuvent avoir des caractéristiques similaires, il est nécessaire de préciser que si toutes les femmes peuvent devenir fontaine, ce n’est pas toutes qui peuvent éjaculer. Le progrès de la science a permis de lever le voile sur ces deux phénomènes, car, en réalité, le mécanisme de l’éjaculation féminine et celui des femmes fontaines sont différents. Toutefois, il est important de souligner que les deux phénomènes ne sont en aucun cas synonymes d’orgasme plus intense. La femme fontaine Cette dénomination est surtout appliquée lorsqu’une grande quantité de liquide s’échappe lors de l’orgasme. Un effort physique et une excitation intense augmentent le rythme cardiaque, entraînant ainsi une circulation et une filtration plus rapide du sang, ce qui va provoquer une accumulation de liquide dans la vessie. Celui-ci sera, par la suite, évacué sous forme de ruissellement ou de jaillissement au moment d’une stimulation sexuelle menant à l’orgasme. La vessie sera complètement vidée après l’apogée d’excitation. Après avoir effectué des analyses, les scientifiques ont pus déduire que ce liquide aurait la structure chimique de l’urine, mais plus diluée. Il est inodore, incolore et a un goût neutre, ce qui le  rapprocherait plus de l’eau. L’éjaculation féminine Lors d’un rapport sexuel, il arrive que certaines femmes libèrent une quantité plus ou moins importante de liquide au niveau du sexe. Cependant, cette éjaculation est différente de celle des les femmes fontaine, car elle est issue des glandes de Skène qui sont aussi qualifiées de prostates féminines. La composition de cette éjaculation se rapproche du liquide prostatique des hommes. Les études ont démontré qu’elle contenait de la phosphatase acide prostatique  et du fructose, qui sont toutes les deux présentes dans le spermatozoïde masculin. Selon le Dr Desvaux, « toutes les femmes ont ces glandes, mais ils sont plus ou moins développés selon le taux de testostérone et le caractère génétique. » Même si ce phénomène nécessite une stimulation pour être déclenché, il est tout de même à noter qu’éjaculation et orgasme ne vont pas toujours de pair, car l’éjaculation peut se produire avant ou après l’excitation. Ce que dit l’histoire des femmes fontaine Depuis longtemps les femmes fontaine ont fait l’objet d’une fascination en raison de leur rareté. Certains les considéraient comme des pratiquantes de la magie noire exerçant une jouissance malsaine de la sexualité féminine, tandis que d’autres les voyaient comme des femmes à fort pouvoir de procréation. En Inde, le liquide qui sort est parfois appelé « nectar de lotus » ou « nectar des dieux » et il était même recommandé d’en consommer. Au Rwanda, il est considéré comme un liquide sacré. La sociologue Janine Mossuz-Lavau a constaté que « leur rareté en a fait des déesses dans des civilisations antiques et des monstres dans certaines cultures. » En France et aux États-Unis, vers la moitié du XXe siècle, plusieurs femmes fontaine se sont fait opérées pour incontinence urinaire. Ce phénomène a déjà été mentionné dans le « kamasutra » et au temps d’Hippocrate qui l’attribuait à une semence jouant un rôle important dans la procréation. Toutefois, ce n’est qu’en 2007 que l’on affirme avec exactitude qu’il s’agit d’un phénomène tout à fait naturel et qu’il n’est en aucun cas l’expression d’une anomalie. Nos dernières recommandations si vous voulez devenir une femme fontaine Alors ok, vous pouvez peut-être arriver (ou pas) à délivrer ce fameux “nectar des dieux”, une chose est sûre, il faut le faire seulement si vous êtes ok avec la pratique. Voici nos derniers conseils : Communication : Parlez avec votre partenaire de vos désirs et de vos limites, et assurez-vous que vous êtes tous les deux à l'aise avec l'exploration. Préliminaires : Prenez le temps de vous échauffer et de vous détendre. La stimulation clitoridienne et d'autres formes de préliminaires peuvent augmenter l'excitation et rendre la stimulation du point G et même celle du Deep Spot, plus agréable. Pas de Pression : N'oubliez pas que chaque personne est différente, et ce qui fonctionne pour une personne peut ne pas fonctionner pour une autre. L'exploration de la sexualité doit être une expérience positive et agréable, sans pression pour atteindre un certain résultat. Considérez l'Expertise Professionnelle : Si vous avez des questions ou des préoccupations spécifiques, vous pouvez également envisager de parler à un professionnel de la santé ou à un éducateur sexuel. La clé est de trouver ce qui vous convient et vous fait vous sentir bien, plutôt que de vous concentrer sur un objectif spécifique ou une performance. Dans tous les cas, on vous conseille d’y aller en douceur, particulièrement en utilisant du lubrifiant. Chez Goliate, notre lubrifiant est même naturel !  

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5 conseils pour une vie sexuelle épanouie

Quelles sont les secrets d’une vie sexuelle qui se porte bien ? Comment s’amuser et profiter pleinement des instants sexe que nous partageons tous les deux ? Voici 5 clés qui vous ouvriront de nombreuses portes.  Je ne cherche plus l’orgasme à tout prix Si je ne pense qu’à jouir, mon cerveau ne se concentre alors que sur la finalité du rapport sexuel. Or, pendant l’amour, il se passe bien des choses : sa peau contre ma peau, ses mains entre mes cuisses, son souffle entre mes jambes… Profiter du chemin, c’est mieux ! En vivant l’instant présent, sans regarder au loin, je m’offre plus de chance d’atteindre l’orgasme. Il sera plus surprenant et plus fort, grâce aux mille sensations rencontrées en route. Je ne fais pas semblant Pour faire semblant, je suis douée. Quand ce n’est pas mon soir, je fais croire que ça l’est. Et quand ses caresses ne me parlent pas, je prétends qu’elles sont bavardes. Comme ça, je ne vexe pas mon partenaire et tout le monde est content. Erreur ! Il vaut mieux dire les choses. Guider l’autre vers nos envies du moment pour en profiter davantage. Sans prendre des airs de directrice d’école, je lui suggère en douceur… un missionnaire, parce que je suis d’humeur missionnaire. J’accompagne ses mains sur mon clitoris quand elles sont maladroites et je propose d’éteindre la lumière si ça me convient mieux. Je ne participe pas à une compétition Je ne suis pas là pour faire l’amour dix fois par semaine et battre la moyenne nationale. Non plus pour enchaîner dix positions au quart d’heure parce qu’ils font ça dans les films pornos. Le sexe m’épanouit quand je le vis à ma façon, sans compter, sans me chronométrer et sans me comparer. Donc peu importe si les voisins font trembler l’immeuble tous les soirs si ce qui me fait du bien à moi, c’est d’y mettre le feu une fois tous les mois. Je ne reste pas sur mes acquis Je me dis souvent que j’ai fait le tour et que ma sexualité est routinière. Peut-être que oui, mes rapports sexuels se suivent et se ressemblent. Pour autant, il y a un tas de choses à découvrir. La sexualité est un vaste champ dans lequel il y a toujours à découvrir. Une nouvelle position, un nouveau jouet, un nouveau lieu, une nouvelle zone érogène… Je fonce. La promesse : de nouvelles sensations jamais connues jusqu’ici ! Je ne pense pas à mes soucis  Le sexe est un moment de partage et de haute détente ! Or c’est vrai, quand j’ai passé une sale journée, plutôt que d’apprécier l’instant sexe, je ressasse mes tracas. Il faut faire les courses, payer les impôts, sortir les poubelles. Certes. Mais rien ne sert d’y penser pendant l’amour. Car les poubelles ne se videront pas en pleine pénétration. Je remets mes soucis à plus tard pour m’abandonner maintenant, tout de suite, et sentir à quel point les mains de mon partenaire sur moi, c’est du petit bonheur.

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Nos conseils coquins pour une fellation toujours plus réussie !

La fellation, c’est bien, mais on se demande parfois si ça ne pourrait pas être encore mieux. Sans pression aucune (il n’existe pas de diplôme de la meilleure fellation), voici nos meilleurs conseils en or pour procurer davantage de plaisir à votre partenaire. Nos conseils pour une fellation réussie Montrer qu’on aime la fellation C’est en prenant du plaisir soi-même qu’on en offrira à notre partenaire. Pourquoi ? Parce que si la fellation nous excite il le sentira et sera d’autant plus excité. Autrement dit, c’est l’histoire d’un cercle vertueux. Cependant, rappelons qu’il est inutile de se forcer : si on préfère bouder la fellation, alors boudons-la. Et si on veut apprendre à l’aimer, alors on prend le contrepied de ce qui nous déplait : trop soumise ? L’homme s’allonge, on se met sur lui. Trop égoïste ? On propose un 69 pour un plaisir partagé… Ne pas hésiter à mettre plus de salive Les parties génitales aiment… l’humidité. Facteur d’excitation à ne pas négliger ! Alors discrètement, on salive encore et encore. Ou bien, on opte pour un lubrifiant, effet garanti ! On abandonne les gestes mécaniques La fellation n’est pas une affaire de « je rentre, je sors », sinon on s’ennuie rapidement. On masturbe donc notre partenaire avec la main, avant d’y remettre la bouche, et ainsi de suite. On peut aussi s’amuser à lécher son pénis, depuis la racine jusqu’au gland. Et puis parfois on va vite, parfois on ralentit… En changeant de rythme et en jouant, on se régale tous les deux. Pour une fellation réussie, on fait attention de ne pas mordre Un conseil, une ligne : attention aux vilaines dents qui peuvent faire mal ! Pour une fellation originale, on change de place Et si on allait sur le canapé ou sous la douche ? On se ruine à payer un appartement, profitons-en pour le redécouvrir sous un nouvel angle. Idem concernant les positions : tantôt soumise, tantôt dominatrice, on s’amuse à varier les acrobaties pour donner à la fellation un petit rafraichissement ! Regarder son partenaire, la clé pour réussir sa fellation Tout dépend de notre degré de timidité et la lumière dans la pièce (oui parce que dans le noir, on peut toujours se regarder, on ne verra pas grand-chose) mais une petite œillade coquine, ou bien romantique, ça fait du bien… ! Pourquoi c’est une bonne idée d’observer pendant une fellation ? Il y a plein d’avantages, centrés autour des partenaires : Connexion émotionnelle : Le contact visuel profond peut renforcer le sentiment d'intimité et de connexion entre les partenaires. C'est une manière silencieuse de dire "Je suis ici, avec toi, en ce moment". Communication non verbale : Les yeux peuvent transmettre une multitude d'émotions et de désirs. En observant les réactions de son partenaire, on peut mieux comprendre ce qu'il ressent et ajuster ses actions pour maximiser le plaisir mutuel. Stimulation visuelle : Pour beaucoup, voir l'expression de plaisir de leur partenaire est en soi une source d'excitation. Cela peut ajouter une dimension supplémentaire à l'expérience sensuelle. Renforcement de la confiance : Le fait de se laisser regarder pendant un acte aussi intime peut renforcer la confiance dans la relation. C'est une forme de vulnérabilité qui, lorsqu'elle est partagée, peut approfondir le lien entre les partenaires. Présence : Se concentrer sur le visage de son partenaire peut aider à rester ancré dans le moment présent, en éliminant les distractions et en renforçant la pleine conscience pendant Aller plus loin pour réussir sa fellation Envisagez la stimulation anale La fellation peut aussi être le bon moment pour tester la stimulation anal de votre partenaire masculin. Pour ça, voici nos conseils : Demandez-lui s’il est ok d’envisager une stimulation anale Dégotez-vous un décontractant anal Faites preuve de douceur Ensuite, votre rôle sera d’y aller doucement. Votre partenaire peut tranquillement se mettre sur le dos et relever ses jambes. Pendant que vous faites la fellation, vous pouvez délicatement descendre votre doigt, lubrifié svp, vers son anus et commencer les caresses. Se faire du bien en même temps Stimuler son clitoris tout en pratiquant une fellation peut décupler le plaisir ressenti. Cette combinaison d'actions offre une expérience multisensorielle, où le plaisir donné est simultanément reçu. En sollicitant le clitoris, zone hautement érogène, tout en se concentrant sur le plaisir de son partenaire, on crée une harmonie sensuelle qui amplifie l'intimité du moment. Cela permet non seulement d'enrichir l'expérience pour celle qui pratique la fellation, mais aussi d'ajouter une dimension émotionnelle et érotique pour le partenaire qui observe. Cette synchronisation des plaisirs peut renforcer la complicité du couple et rendre l'expérience globale Se déguiser pour réussir sa fellation Pour passer à l’étape supérieur, c’est aussi sympa de faire une fellation en se déguisant. Vous pouvez choisir différents déguisements qui sont accessibles, même pour les novices : Se déguiser en lapine sexy : inspiré des Playmates, c’est extrêmement sexy. Se déguiser en écolière : pour un côté innocents à souhait Se déguiser en soubrette : pour intensifier le côté soumission Se déguiser avec ce que vous avez sous la main, juste pour s’amuser Vous avez à présent toutes les clés pour réussir une fellation de folie, en prenant du plaisir et en donnant aussi un max ! Pour plus de conseils, je vous partage mon article préféré pour mettre un préservatif de manière très sexy. Un autre conseil pour faire monter la température.

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Comment lâcher prise pendant un cunnilingus ?

Si le cunnilingus est acte érotique, source de plaisir, toutes les femmes n’en raffolent pas. Tout dépend du partenaire, du moment, de la vision que l’on a de cette pratique et de nos complexes… Alors, comment lâcher-prise et savourer ? Conseils. Les secrets d’un bon cunnilingus Le cunnilingus est un acte intime qui peut être source de plaisir intense pour de nombreuses femmes. Cependant, pour certaines, lâcher prise pendant ce moment peut être un défi. Dans cet article, on vous donne tous les secrets pour le meilleur cunnilingus, et surtout… Comment lâcher prise pour passer le meilleur moment possible ! Comment faire un bon cunnilingus ? Pour commencer, on va vous donner les règles de base pour être certain.e de passer un moment inoubliable. Se sentir propre c’est super important pendant un cunni C’est bête à dire, mais loin d’être absurde. De nombreuses femmes craignent les cunnilingus de peur de ne pas sentir bon, d’être « un peu sale » ou transpirantes. Nous vivons dans une société qui chasse le poil et les mauvaises odeurs en permanence, de quoi flipper quand notre dernière douche ne date pas d’il y a trois minutes. La meilleure solution, quand on ne peut pas prendre une douche l’air de rien avant une partie de sexe (et qu’on y tient), c’est de trainer son partenaire dans la salle-de-bain. Sous l’eau, le plaisir est différent, plus sensuel. On peut même demander à l’autre de nous titiller le sexe avec le pommeau de douche en guise de préliminaires… Et sinon, des petites lingettes nettoyantes dans le sac à main ou encore mieux, un coup de gant de toilette, seront parfaits pour être 100% à l’aise ! Penser à soi, pour prendre un max de plaisir Pour s’abandonner à toute pratique sexuelle, il est bon de réveiller sa petite part d’égoïsme. Souvent, on n’en profite pas « à fond », comme si c’était malvenu, comme si nous ne méritions pas cette attention… Faux. Osons savourer ces quelques minutes de bonheur et pensons à nous, juste à nous, à ce bien fou que l’on ressent, à cet homme qui caresse notre sexe avec sa langue ou un inconnu que l’on fantasme depuis des plombes… On est libre de voyager. Guider son partenaire pendant le cunnilingus Et si on croyait ne pas être branchée cunnilingus alors que seules quelques maladresses de la part de notre partenaire nous éloignent du plaisir ? Nous pouvons le guider ! Tant qu’on ne le réorientera pas, il pensera que sa pratique nous convient. Or, il n’y a aucune honte à ne pas aimer la façon dont il s’y prend, cela ne remet pas en question notre amour pour lui. On peut donc, avec nos deux mains libres, replacer sa tête, toucher notre sexe pour écarter nos lèvres autrement, et ainsi de suite. On peut aussi utiliser des mots chauds pour bien orienter son ou sa partenaire pendant le cunni. Hé oui, la communication est clé dans ces moments-là alors il faut oser se lancer ! Ne pas attendre le miracle S’il y a une erreur courante, que l’on fait déjà avec l’orgasme, c’est de penser au résultat en oubliant de se concentrer sur le plus important : nos sensations ! Pendant le cunnilingus, inutile de croiser les doigts en se répétant « Pourvu que ça le fasse ! ». À force de chercher à aimer ça, on se met la pression et on passe à côté du plus agréable. C’est en se vidant l’esprit et en focalisant sur ce que l’on ressent seconde après seconde que l’on prendra notre pied par surprise ! Par contre, c’est clair qu’avoir de bonnes bases comme savoir comment bien stimuler le clitoris, c’est essentiel. Les astuces pour lâcher prise pendant un cunnilingus Oser le noir ! Autre complexe : la lumière un peu trop vive ! On se met bien souvent à la place de notre partenaire et on visualise notre sexe en gros plan (pas joli à voir, se dit-on). Or, tous les sexes sont beaux. La vue est un sens qui ne chôme pas durant l’amour et qui stimule le désir sexuel. Alors, si on refuse que notre partenaire glisse son nez entre nos jambes, yeux grands ouverts sur nos parties intimes, éteindre la lumière est un premier pas qui permet l’abandon. Une petite bougie suffira, pour une ambiance tamisée ! Et si vous êtes déjà dans la salle-de-bain en lisant ces lignes, notez que rien n’empêche de se laver dans le noir, avec un filet de lumière issu de la pièce voisine. Apprendre à connaître son partenaire Dans toute relation, prendre le temps d'apprendre à connaître son partenaire est essentiel pour bâtir une fondation solide et durable. Cela va bien au-delà de la simple connaissance des goûts et des aversions de l'autre. C'est une exploration profonde des valeurs, des aspirations, des peurs et des rêves de l'autre. En comprenant véritablement qui est notre partenaire, nous sommes en mesure de créer une connexion authentique, d'anticiper les besoins de l'autre et de naviguer ensemble à travers les défis de la vie. Cette connaissance mutuelle favorise la confiance, le respect et l'empathie, éléments clés pour une relation épanouissante et harmonieuse. En fin de compte, connaître son partenaire, c'est investir dans la qualité et la pérennité de la relation. Donc en gros, c’est pas le premier cunni qui compte, c’est ceux qui viennent après ! En apprenant à connaître l’autre (et à se laisser connaître), on prend évidemment plus son pied. Pour un bon cunni, on écoute son corps ! Écouter son corps pendant les moments intimes est essentiel pour une expérience sexuelle épanouissante et respectueuse de soi. Notre corps nous envoie des signaux clairs sur ce qui nous procure du plaisir, ce qui est inconfortable ou ce dont nous avons besoin pour nous sentir en sécurité. En étant à l'écoute de ces signaux, nous pouvons mieux comprendre nos désirs, nos limites et nos zones de confort. Ignorer ces messages peut conduire à des expériences insatisfaisantes ou même traumatisantes. En revanche, en prêtant attention à notre corps et en communiquant ouvertement avec notre partenaire, nous favorisons une intimité basée sur le respect mutuel, la confiance et le plaisir partagé. C'est une démarche qui valorise le consentement et l'authenticité, permettant à chaque individu de vivre sa sexualité de manière épanouie et consciente ! Quand on se focalise sur son plaisir pendant un cunni, on prend clairement plus de plaisir ! Notre dernier conseil pour prendre son pied pendant un cunnilingus Il y a plein de manière de faire un cunni, mais clairement, on a une position préférée ! Et c’est la levrette en version cunni. Si tu veux en savoir plus sur cette superbe position, découvre notre article dédié sur le sujet : Pourquoi tenter la levrette orale ?

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Alicia, 33 ans : « pour jouir, il faut que je domine »

Chez Goliate, on adore échanger en live avec notre communauté ! Pour cette raison, on récolte vos témoignages et on les partage. Cela permet à toutes et tous de faire évoluer votre façon de voir le sexe et de prendre du plaisir. Aujourd’hui, c’est Alicia qui partage son témoignage. Elle parle de sa position de dominante au lit et de ce que ça implique dans ses relations sexuelles. Prêt.e.s à en savoir plus ? Dominer au lit quand on est une femme Alicia, 33 ans, aime dominer au lit. Si de nombreux hommes ont été surpris par son caractère de fonceuse, son partenaire actuel adore être soumis. Elle nous raconte. Mon profil n’est pas commun. Mes amies me confient régulièrement qu’elles aiment être soumises au lit. C’est l’inverse qui m’excite. Je m’en suis aperçu dès le début de ma vie sexuelle. Très naturellement (et parce que nous vivons encore dans un vieux schéma qui dit que l’homme propose et la femme dispose…), les mecs prenaient les devants. Ils décidaient de la position, sortaient parfois les ongles, et moi, pour entrer dans le jeu, je prenais un air de « petite chose fragile » qui aime obéir. Mais je m’ennuyais radicalement. On prétend généralement que le soumis domine tout autant puisqu’à partir du moment où il accepte la soumission, impose des limites et ouvre certaines portes, il a le contrôle. Peut-être. Mais moi, je voulais être celle qui décide et dirige, guide et surprend. Pas celle qui drive tacitement en ne prenant moins d’initiative. Mais moi, je voulais être celle qui décide et dirige, guide et surprend Pourquoi j’aime dominer au lit ? J’aime être source de surprise Les femmes qui préfèrent être soumises apprécient l’effet surprise. Enfin, c’est ce que j’entends très souvent. Elles ne savent jamais ce que leur partenaire va faire ou dire. Pour elles, c’est un moyen de s’abandonner à l’acte sexuel, de ne plus penser, de déconnecter, de partir… Justement, moi, ce qui me plait, c’est d’observer mon partenaire qui lâche prise… grâce à moi ! J’aime le surprendre, j’aime être sur lui – l’Andromaque est ma position préférée. Je choisis le rythme, je décide d’accélérer ou de ralentir, de lui mettre une main sur la bouche ou de lui fermer les yeux. Il ne sait jamais à quoi s’attendre, il est face à l’inconnu et il adore ça. Je suis aussi branchée mots crus, j’aime bien lui dire ce que je veux, lui donner des ordres. Je prends du plaisir quand je le fais et du plaisir à observer ses réactions. Il ne sait jamais à quoi s’attendre Dominer, juste pour prendre plus de plaisir C’est comme ça que je prends mon pied Derrière mon comportement, on pourrait croire à un besoin de toute puissance. Aussi à une peur de s’abandonner, j’y ai déjà pensé. Je ne crois pas que ce soit le cas, parce qu’en agissant comme je le fais, je perds pied. C’est ma façon à moi de rencontrer le plaisir, d’abord parce que mon partenaire adore et que c’est communicatif, ensuite parce que diriger le rapport me permet d’aller où je le souhaite (toujours avec son consentement) et donc de vivre pleinement l’instant. Au départ, j’imaginais que je n’étais pas assez en confiance avec les hommes que je rencontrais. Même si c’est un jeu, il faut se sentir en sécurité pour enfiler le costume du soumis. Mais j’ai connu des relations longues, dans lesquelles je me sentais bien, mais impossible de me laisser faire. Peut-être que je suis comme ça au lit parce que je suis plutôt timide au quotidien. Le sexe est un jardin secret, un terrain sur lequel j’ose m’exprimer. La domination dérange certains hommes J’ai dérouté certains hommes J’ai de la chance, parce que mon partenaire aime beaucoup que je prenne les devants. Nous avons trouvé l’équilibre. Il arrive parfois qu’il m’ordonne de jouer la soumise, ça dure toujours une minute ou deux, et c’est dans le seul but de me faire sortir de mes gonds, un peu comme s’il me fallait « me venger ». Avec mes ex, les choses étaient différentes. J’ai rarement connu des hommes qui adoraient être soumis. Ils étaient déroutés face à moi ! Ils n’attendaient pas forcément de dominer, mais ils espéraient alterner sans arrêt. Résultat, je vivais beaucoup de rapports bestiaux ! Chacun voulait prendre le pouvoir. Ça rendait l’acte intéressant et plaisant, d’un autre ton. Mais il m’est arrivé de tomber sur des hommes qui m’ont rapidement confié ne pas apprécier. Ils avaient le sentiment de ne rien avoir à faire. Je ne peux que comprendre, parce que moi-même je n’aime pas cette place. Le tout, finalement, est de trouver quelqu’un avec qui ça colle sur ce point… Nous avons tous nos préférences au lit. Les meilleurs accessoires pour dominer au lit Le témoignages d’Alicia est très instructif et nous rappelle qu’on peut tous vivre sa sexualité à notre manière, tant que c’est ok des deux côtés. Si vous voulez vous lancer dans cette pratique, on vous a préparé la liste de nos 3 accessoires favoris, pour commencer la domination en douceur. Le gel relaxant anal : ce gel est idéal si à travers la domination, vous souhaiter faire tester la pratique anal à votre partenaire L’huile de massage aphrodisiaque : pour faire monter la température en douceur et préparer un moment très chaud Le stimulateur Rabbit double plaisir : pour un plaisir décuplé chez les femmes et même chez les hommes ! Comme Alicia, vous souhaitez partager votre témoignage ? RDV sur notre page Insta en message privée, on se fera un plaisir d’en parler de manière anonyme bien évidemment !

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Nos conseils – L'équipe Goliate

Comment préparer la sodomie ?

De moins en moins tabou, la sodomie semble s’inviter dans de nombreux lits : 53% des femmes l’ont déjà testée en 2019*, un chiffre qui a quadruplé depuis 1970. Mais comment préparer le terrain, entre tentation et appréhension ? Nos réponses. Pourquoi s'aventurer dans l'exploration de la sodomie ? Une expérience unique pour ceux qui osent Le sexe anal, souvent entouré de mystères et de tabous, peut être une source de plaisir inédit. Pour les femmes, cette sensation diffère grandement de la pénétration vaginale traditionnelle. C'est une danse intime qui nécessite apprentissage, douceur et une confiance mutuelle entre les partenaires. Mais une fois maîtrisée, elle peut ouvrir la porte à des plaisirs insoupçonnés. Brisons les mythes : ce n'est pas aussi "sale" qu'on le pense Il est courant d'entendre des rumeurs ou des blagues qui ternissent l'image du sexe anal. Soyons clairs : bien que des petits imprévus puissent survenir, le sexe anal, lorsqu'il est pratiqué avec soin et préparation, n'est pas la scène chaotique que certains imaginent. C'est une expérience aussi propre que n'importe quelle autre forme d'intimité, à condition de respecter certaines précautions. Un désir souvent évoqué par le partenaire Le sexe anal est souvent perçu comme un fantasme, en particulier chez les hommes. Cette perception est en partie influencée par la culture populaire et le fait que l'orifice anal est généralement plus étroit que le vagin. Cette particularité offre une sensation différente, ce qui peut susciter la curiosité et l'envie d'explorer cette pratique. De plus, lorsqu'un partenaire a déjà expérimenté le sexe anal, il est plus enclin à introduire l'idée dans la relation. Nos conseils pour bien préparer la sodomie Pour une bonne sodomie il faut de l’excitation Pour prendre du plaisir lors d’une pratique, le désir et le consentement sont primordiaux. Inutile de foncer vers la sodomie quand l’envie n’est pas au rendez-vous ou quand elle n’existe que pour satisfaire son partenaire. L’essentiel est donc de se questionner : en ai-je envie ? Envie tout de suite ? Peut-être ai-je simplement l’envie d’en avoir envie, ce qui est déjà un premier pas, une ouverture ? Et pourquoi, pour qui ? Et puis, j’en ai envie « comment » ? Comment est-ce que j’imagine cette expérience ? Sans rédiger une dissertation ou une lettre de motivation, on peut s’interroger et étudier la notion de plaisir qui se cache derrière notre curiosité. Une bonne sodomie, c’est aussi une bonne hygiène La question n’est pas des plus glamour mais effleure tous les esprits : quel est le risque de rencontrer de la matière fécale pendant la sodomie ? Il faut savoir que les selles transitent par l’anus mais qu’elles n’y prennent pas leur quartier d’hiver ! Certaines personnes vont tout de même préférer effectuer un lavement, mais une simple douche intime (mais externe, toujours !) suffit amplement. On peut juste, aussi, ne pas enchainer passage aux toilettes et sodomie. On laisse passer quelques heures et tout va bien ! Cependant, il faut souligner qu’à la suite d’une sodomie, la pénétration vaginale est fortement déconseillée. Pour pouvoir se balader au recto après avoir visité le verso, on utilise donc un préservatif que l’on retire avant d’entrer dans le vagin. Idem avec un sextoy. Une bonne dose de lubrifiant, pour kiffer son moment C’est clairement un des sujets les plus importants ! L’anus est une zone innervée, qui promet des sensations. Néanmoins, elle ne lubrifie pas automatiquement, contrairement au vagin qui fait preuve d’un système ingénieux. Ainsi, on s’appuie sur un lubrifiant pour éviter les frottements désagréables et accueillir le plaisir. Généralement, les lubrifiants dédiés aux rapports anaux sont conçus pour « tenir » plus longtemps que les lubrifiants classiques, qui peuvent exiger d’être mis et remis… Mais faire des pauses, c’est sympa aussi ! Dans tous les cas, pas de lubrification à base d’huile ou d’huile de massage si préservatif il y a… Et si vous utilisez un plug anal, préférez tout de même un lubrifiant à base d’eau afin de préserver votre jouet. Et mettez-y de la douceur ! Pas la peine de rassembler toute votre énergie et de tout donner. La sodomie, surtout quand on la découvre, demande de la douceur. Et puis, quoi de plus plaisant que d’écouter les sensations à l’instant même ? Que de prendre son temps pour se connecter à cette nouvelle pratique et ce nouveau partage ? On choisit donc de ne pas se presser. Des conseils ? Tâter d’abord le terrain avec le doigt muni de lubrifiant. Et, toujours, continuer de stimuler les autres zones du corps. Pratiquer la sodomie, ce n’est pas tout envoyer valser. Seins, clitoris, ventre… Le plaisir est un tout, et les sensations entre elles s’alimentent. Le truc en plus : et avec un plug anal ? On parle beaucoup de sodomie dans le cadre du couple, hétérosexuel ou homosexuel. Mais la sodomie se pratique également lors de la masturbation. Grâce à un plug anal, créé spécialement pour stimuler la zone anale, on peut s’octroyer de nombreux plaisirs ! Bien entendu, le plug anal s’utilise aussi en couple et peut constituer une étape préliminaire, ou un simple jeu. Bref, l’un n’empêche pas l’autre. Les meilleurs produits Goliate quand on pratique la Sodomie Le lubrifiant, parce que c’est LE passage obligé quand on joue avec les sensations anales Le décontractant anal : si vous voulez jouer la sécurité avant tout Le jouet My Pleasure, qui a une forme idéale quand on veut aller chatouiller les fesses ! Une chose est sûre, la sexualité est libre, à chacun ses désirs, ses idées, ses inspirations ! C’est d’ailleurs exactement ce que la sodomie nous raconte : le sexe est une question intime à laquelle on répond… comme bon nous chante. Sondage IFOP / ELLE, 2019

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Nos conseils – Mister Ose

Les secrets de l’homme multi orgasmique : on vous dit tout !

Aujourd’hui on va vous parler d’un sujet chaud à souhait : le multiorgasme ! On entend toujours parler de l’éjaculation précoce, mais très peu du multiorgasme. Il faut avouer que le premier cas s’avère être une vraie galère pour les hommes et qu’il est bien plus connu (parfois les hommes ont même besoins de traitements spécifiques pour gérer l’éjaculation précoce). De l’autre côté, arriver à jouir plusieurs fois d’affilée est souvent presque de l’ordre de l’exploit ! Certains y parviennent avec assez de facilité, tandis que d’autres ont encore besoin de connaître les secrets pour s’imprégner de cet art. L’idée est de savoir se mettre parfaitement en symbiose avec les zones sexuelles du corps pour arriver à avoir des orgasmes les uns à la suite des autres. En fin de compte, cette aubaine est à la portée de tous. Il faut juste travailler le sujet et être pleinement conscient de son corps. Le multi-orgasme : avec ou sans éjaculation ? Le multiorgasme peut se faire avec ou sans éjaculation dans un seul rapport sexuel. Il faut dire que la perspective d’arriver au point culminant du plaisir sexuel en plusieurs fois sans avoir à faire une pause est le rêve pour plus d’un homme. Toutefois, certains y parviennent avec quelques minutes ou secondes de pause entre les deux.Dans ce cas, l’on parle de multiorgasme de type séquentiel. C’est quoi un multiorgasme séquentiel ? Entre deux orgasmes se trouve la période dite réfractaire, ce laps de temps pendant lequel l’excitation s’échappe. En temps normal, elle survient après l’éjaculation. Sa durée varie d’une personne à une autre, en fonction de l’âge, de la forme physique et bien évidemment de l’intensité du plaisir. Plus elle est courte, plus l’homme en question peut arriver à jouir plusieurs fois à la suite. Comment pratiquer le multiorgasme ? Chez les hommes, le multiorgasme séquentiel est moins courant et nécessite souvent une pratique et une conscience corporelle accrues. Certains hommes peuvent avoir des orgasmes multiples sans éjaculation, ou avec des éjaculations partielles, leur permettant de continuer à être sexuellement actifs sans une longue période réfractaire. Les femmes ont une longueur d’avance En comparaison avec les hommes, les femmes sont plus susceptibles de connaître cette expérience. Le multiorgasme chez les femmes Chez les femmes, le multi orgasme séquentiel est plus courant. Après un orgasme, la femme peut continuer à être stimulée et atteindre un autre orgasme peu de temps après. Cela peut se répéter plusieurs fois. Les orgasmes peuvent varier en intensité et en sensation, et il n'y a généralement pas de période réfractaire (période de repos) comme c'est souvent le cas chez les hommes. Les différences entre les hommes et les femmes Première grande différence, elles se passent de la période réfractaire. Par conséquent, elles restent « opérationnelles » et excitées même après un orgasme déchaîné. Certaines parviennent même à augmenter la cadence après le premier spasme de plaisir en vue d’atteindre le septième ciel. Du côté des hommes, le désir a tendance à s’évanouir petit à petit une fois le sperme évacué, même en s’adonnant à de nouvelles stimulations. D’ailleurs, plus d’un ressentent une certaine sensation de douleur ou de gêne à force d’insister. Une chose est sûre : si on n’est pas à l’aise avec cette pratique ou qu’elle ne nous fait pas du bien, on arrête, plutôt que de passer un mauvais moment. Côté stats ça donne quoi ? Les hommes sont moins nombreux à être concernés par le multiorgasme. Pour être précis, ils représentent 6% de la population masculine sexuellement active contre 20% chez les femmes. Il n’en reste pas moins que c’est possible d’égaler la prouesse de la gent féminine sous quelques conditions. À la découverte du pouvoir du muscle pubo-coccygien Vous l’aurez compris, le pénis devient relativement sensible après l’éjaculation.Dans ce cas, comment faire pour se retenir tout en savourant pleinement son orgasme ? Il faut savoir que celui-ci précède de peu le déversement des spermes. Tout se joue à cet intervalle. D’où l’intervention du muscle pubo-coccygien, le fameux PC. L’importance du muscle pubo-coccygien dans le multiorgasme Il est localisé au niveau de la région du périnée, plus précisément le long de l’os pubien jusqu’au coccyx. Ce muscle assure tout ce qui se passe entre les testicules et l’anus. Lorsqu’un homme interrompt l’urine, c’est au PC de s’en charger. Il en va de même pour le liquide séminal. Certains hommes vont arriver à bien contrôler ce muscle alors que d’autres non et c’est tout à fait ok ! Cet article est là pour vous permettre d’essayer. Plus il est renforcé, plus la personne est susceptible de connaitre un succès de ce côté. C’est l’intérêt des exercices qui vont suivre. S’entraîner pour devenir multiorgasmique Devenir multiorgasmique relève d’une faculté qui reste toutefois assimilable avec des exercices. En même temps, les 6% susmentionnés sont en mesure de profiter de ce privilège sans avoir à fournir des efforts particuliers. Heureusement, avec un peu de pratique, tous les hommes peuvent essayer de tenter l’aventure multiorgasmique. Conseil n°1 pour devenir multiorgasmique La masturbation est un excellent exercice avant de se mettre en pratique. Au lieu d’éjaculer, servez-vous du muscle PC pour vous retenir. Néanmoins, le pénis ne doit plus être stimulé une fois que les contractions propres à l’orgasme se font ressentir. En fonction du cas, une petite pause succède ou pas ce moment avant de reprendre l’auto-érotisme pour atteindre un autre orgasme. Ainsi de suite jusqu’à l’éjaculation. Au début, ce sera difficile de refouler l’extase, mais le corps s’y habitue et commence à y prendre plaisir au fil du temps. En plus, la sensation est nettement plus agréable en étant avec un partenaire. Conseil numéro n°2 pour devenir multiorgasmique D’autres activités s’imposent avant d’arriver à maîtriser la technique à la perfection. La respiration en fait partie. Pour cela, mettez-vous en position assise, bien confortablement avec les mains sur le ventre. Inspirez et expirez calmement et intensément pendant quelques minutes. De cette manière, il sera plus facile de se maîtriser pendant les rapports sexuels. Conseil n°3 pour devenir multiorgasmique Muscler son périnée est la troisième clé pour arriver à maîtriser son orgasme. Pour ce faire, on vous a écrit un article dédié sur les techniques pour muscler votre périnée. Enfin, vous devez apprendre à connaître parfaitement votre état d’excitation avant et après le premier orgasme. Attention, si vous n'y parvenez pas, cela peut être une source de frustration non seulement pour vous, mais aussi pour votre partenaire. Notre meilleur conseil : restez patient, et puis après tout, gardez à l’esprit que ce n’est pas non plus une fin en soi que d’y parvenir ! Pas de multiorgasme = pas de stress Lorsque vous réussissez à franchir ce cap, le sexe vous sera vu d’un tout autre angle. Si d’habitude, jouir se caractérise par une note de furtivité, cette capacité permet de mieux se concentrer sur le plaisir et non le sexe à proprement parler. Avec cette activité, les sensations d’extase procurées perdurent davantage. En outre, elles sont inévitablement plus intenses. Cela s’explique non seulement par la présence de plusieurs orgasmes, mais aussi par la durée prolongée du rapport. Mais il faut surtout retenir que si vous n’y arrivez pas, ce n’est pas un problème ! À force de chercher de nouvelles performances, des troubles tant physiques que relationnels peuvent en être engendrés. Le plus important quand on a une relation sexuelle, c’est d’être à l’écoute de son corps et de celui de son ou sa partenaire ! Dans tous les cas, il faut profiter du moment, c’est ce qui compte le plus. Et pour ce faire, vous pouvez déjà commencer par notre lubrifiant bio ou bien continuer à lire nos articles pour plus de plaisir !

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Le slow sex ou comment se connecter au plaisir !

La tendance slow est partout - slow cosmétique, slow food, slow fashion… - et désormais dans nos lits, avec le slow sex. Son but ? Faire l’amour plus lentement afin de mieux se connecter à nos sensations. Plaisir décuplé et garanti ! On vous dit comment le pratiquer. Slow Sex : L'art de la connexion intime Chez Goliate, nous croyons que l'épanouissement intime est essentiel pour une vie équilibrée et heureuse. Dans cette quête d'harmonie, le SlowSex se présente comme une invitation à redécouvrir la sensualité à un rythme apaisé. Loin de la précipitation et des performances, le SlowSex prône une intimité basée sur la connexion, la communication et la conscience. Le Slow Sex, c'est prendre le temps de ressentir chaque sensation, d'explorer chaque recoin de son corps et de celui de son partenaire. C'est une danse sensuelle où chaque mouvement est délibéré, chaque toucher est savouré. Dans cette approche, la qualité prime sur la quantité. Il ne s'agit pas seulement de l'acte en lui-même, mais de tout ce qui l'entoure : les préliminaires, les caresses, les regards échangés. Et parce que chez Goliate, nous sommes convaincus que le respect de soi et de son partenaire est primordial, le Slow Sex s'inscrit parfaitement dans notre philosophie. Il encourage une sexualité saine, respectueuse et engagée, où chaque individu est acteur de son plaisir et de celui de son partenaire. Alors, prêt(e) à ralentir le rythme et à redécouvrir les joies d'une intimité profonde et connectée ? Embarquez avec nous dans cette aventure sensuelle et découvrez le SlowSex, pour une vie intime épanouie et respectueuse. Pourquoi essayer le Slow Sex ? Parce qu’on a tendance à courir, voire à bâcler. L'importance de la routine et de la familiarité Pourquoi essayer le Slow Sex ? Dans notre vie trépidante, nous sommes souvent pris dans le tourbillon des routines. Le sexe n'échappe pas à cette tendance. Souvent, nos ébats suivent un schéma prévisible : entrée, plat, dessert. Cette familiarité a ses avantages. Nous savons ce qui fonctionne, nous connaissons les contours et les secrets du corps de notre partenaire, et nous sommes à l'aise avec ce qui nous procure du plaisir. Cette routine est rassurante, un moment de retrouvailles après une longue journée, une façon de se connecter et de partager un moment de jouissance. Redécouverte et immersion : la magie du slow sex Cependant, il y a une dimension de la sexualité qui reste souvent inexplorée : la redécouverte. Le Slow Sex offre cette opportunité. Il s'agit de ralentir, de prendre le temps de vraiment ressentir chaque sensation, chaque frisson. Au lieu de se concentrer sur la destination - l'orgasme - le Slow Sex nous invite à apprécier le voyage. C'est une immersion totale dans l'instant présent, une chance de se reconnecter à son partenaire d'une manière profonde et significative. En pratiquant le Slow Sex, nous apprenons à valoriser la qualité des moments intimes plutôt que leur quantité, à savourer chaque toucher, chaque regard, chaque souffle. C'est une invitation à redécouvrir son partenaire, son propre corps, et les innombrables façons de donner et de recevoir du plaisir. Pour mieux se connecter… on déconnecte avant ! Afin de se connecter au corps de l’autre mais aussi à son propre corps, il est bon d’aborder l’échange sexuel comme un moment tendre, sans pensées parasites, sans téléphone portable qui sonne, sans télé en fond… On prépare son ambiance, celle qui nous invite à la détente. Pas de pression, pas d’urgence, on est seulement là pour partager une étreinte pleine de sensualité, pour arpenter un corps que l’on aime mais que l’on regarde toujours du même angle, sous une même lumière. On se dit que nos tracas peuvent bien patienter au placard une heure ou deux, et on est alors complètement disponible. Le rapport ne sera pas vite fait bien fait, il sera lent et en pleine conscience, pour le plaisir d’être là, ensemble, prêts à partager un millier de sensations ! Nos conseils pour se mettre au SlowSex Une fois que notre chambre douillette nous attend, le slow sex consiste à freiner ! Pas de précipitation : on prend son temps. On s’embrasse d’abord longuement (pour oublier les baisers, très érotiques ?), on se déshabille millimètre par millimètre, on se concentre sur l’effet d’un vêtement qui nous échappe et sur la peau de l’autre, que l’on parcourt du bout des doigts. On prend son temps On ose les massages, les caresses, sur des zones parfois abandonnées : le bas du dos ? La nuque ? Le corps entier est potentiellement érogène, alors pourquoi ne pas se promener lentement ? Et toujours, on se pose la question : je ressens quoi là ? Quand ses mains frôlent ma poitrine ? On active ses cinq sens : ce que le toucher nous dit mais aussi notre odorat, notre ouïe, notre vue et notre goût. On profite de l’instant Ainsi – et c’est magique – on oublie ce devoir de performance et de jouissance qui parfois nous amène à penser à « l’après », à ce qu’il « faut faire », à ce que « l’autre attend ». Au contraire, on vit pleinement l’instant parce qu’on prend le temps d’entrer en lui, de le décortiquer, de le magnifier. Et lorsque l’orgasme arrive bien des minutes plus tard, il nous surprend. Et il est plus intense. Essayez avec un carré de chocolat : dégustez-le lentement, regardez-le avant ça, respirez-le, sentez-le vibrer dans votre bouche… N’est-il pas meilleur qu’avaler à la va-vite après un café ? C’est maintenant à vous de tester cette fabuleuse aventure en prenant le temps… Et ce sera même un excellent moment pour tester des jouets, comme notre préféré quand on veut du calme : The Amazing !

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Pourquoi la soumission excite ?

C’est quoi la soumission sexuelle ? La soumission sexuelle fait référence à une dynamique érotique ou à un rôle dans lequel une personne se soumet volontairement à la volonté d'une autre. Elle peut s'exprimer de différentes manières et varier en intensité, allant de jeux de rôles légers à des pratiques BDSM (Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadisme, Masochisme) plus intenses. Les règles importantes dans la soumission sexuelle Voici quelques points clés à comprendre sur la soumission sexuelle : Consentement : La soumission sexuelle est basée sur le consentement mutuel. Cela signifie que toutes les parties impliquées sont d'accord avec la dynamique et les activités pratiquées. Le consentement peut être retiré à tout moment. Communication : Une communication ouverte est essentielle pour établir des limites, discuter des désirs et s'assurer que toutes les parties se sentent en sécurité et respectées. Rôles : Dans une dynamique de soumission, il y a généralement un partenaire dominant (ou "dom") et un partenaire soumis (ou "sub"). Ces rôles peuvent être constants ou interchangeables selon les préférences des participants. Pratiques : La soumission peut inclure une variété d'activités, telles que le bondage, la discipline, la privation sensorielle, la servitude, etc. Les activités exactes dépendent des préférences et des limites des participants. Sécurité : La sécurité est primordiale. De nombreux adeptes du BDSM suivent le principe "SSC" (Sain, Sûr et Consensuel) ou "RACK" (Risk Aware Consensual Kink) pour s'assurer que les pratiques sont consensuelles et réalisées en toute sécurité. Psychologie : Pour certains, la soumission est une libération émotionnelle ou un moyen d'explorer des aspects de leur personnalité dans un environnement contrôlé. Pour d'autres, elle peut être une expression de leur identité ou de leurs désirs profonds. Respect et bien-être : Même si la dynamique peut impliquer le jeu de pouvoir, le respect mutuel est essentiel. Après une session, il est courant de pratiquer l'"aftercare", un moment de soin et de réconfort pour s'assurer que tous les participants se sentent bien et en sécurité. La soumission sexuelle, c’est un choix et pas une obligation Il est important de noter que la soumission sexuelle, comme toutes les pratiques sexuelles, est une question de choix personnel. Tant qu'elle est pratiquée de manière consensuelle et respectueuse, elle peut être une expression saine et épanouissante de la sexualité. Les témoignages sur la soumission Sexuelle Nombreuses personnes apprécient les rapports de domination soumission avec une préférence pour la seconde place. Pourquoi le rôle du soumis dans un jeu de couple est-il excitant ? Explications et conseils pour s’y adonner. Pourquoi tester la soumission sexuelle ? « En m’obligeant à le suivre, mon partenaire m’oblige à lâcher-prise » « Il n’y a que quand Erwan prend les devants que je ne pense à rien. Je me laisse faire, je lui obéis, ma tête se vide », confie Elodie, 30 ans. Si le sexe aide beaucoup d’entre nous à déconnecter, encore faut-il s’abandonner totalement. La soumission impose de ne prendre aucune initiative, autrement dit, de ne plus rien contrôler. La définition même du lâcher-prise, que l’on expérimente dans la vie comme au lit, avec plus ou moins de succès. Dès lors que l’on ne décide plus de la prochaine caresse et qu’on se laisse guider sans réfléchir, on accueille plus facilement le plaisir. Notre cerveau est déconnecté, nous sommes attentifs à chaque mot, chaque geste, si bien que nos sensations sont plus intactes, donc plus plaisantes, comme en témoigne Marjorie, 26 ans : « Si mon partenaire me touche le sexe en mettant sa main sur ma bouche et en tirant mes cheveux, je prends trois fois plus mon pied. La contrainte me plait, je me sens être une petite chose fragile et vulnérable. En m’obligeant à la suivre, mon partenaire m’oblige à lâcher-prise. Je ne peux m’accrocher à rien. Cette position d’infériorité est pour moi excitante car toutes les sensations sont décuplées ». La soumission sexuelle, c’est d’ailleurs un excellent moyen d’essayer le Dirty Talk. L’inconnu, le plaisir de la soumission « Ne pas savoir s’il va me toucher les seins ou les fesses est terriblement bon » En jouant la soumise ou le soumis, on laisse l’autre mener la barque de notre plaisir. Comment prévoir s’il va nous effleurer ou nous mordiller ? Nous embrasser ou nous retourner ? Les surprises se succèdent et d’autant plus si on se bande les yeux. « J’aime les rapports de domination soumission les yeux bandés, raconte Simon, 32 ans. Je ne sais pas à quoi m’attendre. Ma copine décide et chaque initiative de sa part est une surprise, ce qui me procure davantage de plaisir. Je suis face à l’inconnu et ça me met dans des états dingues ! ». Un sentiment que Marjorie partage. Car si le plaisir vient du lâcher-prise et de la perte de contrôle, il se trouve aussi dans l’impossibilité d’anticiper. « Mon partenaire joue le chaud, le froid, il donne le ton du rapport. Ne pas savoir s’il va me toucher les seins ou les fesses, me tendre son sexe ou m’imposer de me masturber est terriblement bon. Comme si le fait d’être toute aussi actrice ôtait une partie de mon excitation car le rapport devient prévisible. Quand on ne joue pas, j’aime savoir comment je vais le toucher ou lui murmurer ce qui me plait mais dans la surprise, mon corps bondit, chaque geste est plus fou ». Soumission sexuelle mais aussi domination « En me soumettant, je le domine » Les rapports de domination soumission s’inscrivent sous la forme d’un jeu. Le couple choisit ensemble du rôle de chacun. Le cadre est intime, défini, et respectueux. Et contrairement aux apparences, le soumis détient aussi le pouvoir ! Physiquement, on pourrait le penser inférieur, mais en réalité, le rapport est à l’équilibre. C’est en décidant d’être soumis et en jouant plus ou moins le jeu que le dominant est orienté. « Il suffit que je ne prenne plus aucune initiative et me replie sur moi-même comme qui dispose pour que Florian comprenne où je veux en venir. Et plus je joue « la faible », plus il joue le fort. Au contraire, si j’ai  envie d’être un peu plus présente, je me montre plus active et il domine moins », nous raconte Hélène, 31 ans. Au fond, le couple oublie rapidement qui est le dominant, qui est le dominé, et l’un a besoin de l’autre pour exercer son rôle. Si le dominé attend du dominant qu’il le guide, le dominant peut se lâcher si le dominé le lui autorise et il fixera ses limites si le dominant va trop loin. Un jeu à l’équilibre, pour un plaisir maximal. Tant que chacun est consentant. Si le sujet vous intéresse, découvrez aussi le témoignage d’alicia, sur la domination sexuelle.

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Les secrets pour stimuler parfaitement son clitoris

Organe sexuel dédié au plaisir, le clitoris possède près de 10 000 terminaisons nerveuses. Autant dire qu’il peut nous amener loin, très loin. C’est quoi le clito ? Le clitoris est un organe sexuel féminin situé à l'avant de la vulve, là où les lèvres internes se rencontrent. C'est une petite protubérance sensible qui joue un rôle central dans le plaisir sexuel féminin. Il est principalement composé de tissu érectile, similaire à celui du pénis chez l'homme, ce qui signifie qu'il peut gonfler et durcir en réponse à la stimulation ou à l'excitation. La partie visible du clitoris, souvent appelée le gland, n'est que la pointe de l'iceberg ; la majeure partie de l’iceberge se situe…à l’intérieur du corps des femmes. 6 techniques pour stimuler le clitoris Stimuler le clitoris avec les doigts Evidemment, la stimulation manuelle est la plus fréquente. Que l’on s’offre du plaisir solitaire ou que l’on partage un moment intime, les doigts permettent une exploration en douceur de la zone clitoridienne. C’est l’occasion d’identifier ses petites lèvres, ses grandes lèvres, le vestibule vaginal puis le clitoris lui-même, source infini de plaisir. Tourner autour fait monter l’excitation, tandis qu’un attouchement trop soudain peut refroidir. La douceur est donc de mise pour un réveil pas à pas, jusqu’à sentir le clitoris entrer en érection. L’humidité aussi a son importance : on peut alors mouiller son doigt, utiliser un lubrifiant ou tout simplement laisser grimper l’excitation jusqu’à ce le vagin offre une lubrification naturelle. Quant à la main entière, elle intervient pour faire très légèrement pression, mais aussi former des petits ronds. Chez Goliate, on a prévu pour vous le lubrifiant parfait, bio et made in France. Stimuler le clitoris avec un jouet De nombreuses femmes utilisent des sextoys pour se masturber, aussi au sein du couple. Très fréquemment munis de vibrations, les jouets pour adultes proposent des sensations intenses. L’orgasme peut survenir très rapidement, la stimulation étant rapide et efficace. Beaucoup de femmes jouent puis s’accordent une pause pour de nouveau utiliser leurs doigts. Une façon de ralentir la montée et de créer davantage de tension sexuelle. D’ailleurs pour augmenter son plaisir quand on utilise un jouet, c’est intéressant de contracter son périnée pour augmenter son plaisir. Les sextoys sont une excellente façon de découvrir son corps, de se familiariser avec le rythme auquel le plaisir grimpe et s’installe, pour ensuite jouer à sa guise sur le chemin de la jouissance. Pour stimuler votre clitoris, nous vous recommandons de vous lancer avec notre stimulateur clitoris The Amazing! , dédiée au plaisir du clitoris orgasme garanti ! Stimuler le clitoris doucement, grâce aux frottements Lorsque les jeunes femmes découvrent leur corps et s’adonnent à l’autoérotisme, elles se frottent généralement à un objet tendre, comme un oreiller, le matelas, même une peluche. Souvent, elles serrent les jambes afin de replier le clitoris sur lui-même, le confiner au sein de la vulve, pour davantage d’excitation. Les frottements permettent de gérer parfaitement la pression, le mouvement et le rythme. Lors d’un rapport sexuel, on peut se frotter contre le pubis de son partenaire, aussi sur sa cuisse lors de préliminaires. Un moyen de ne pas abandonner son clitoris lors d’une stimulation vaginale. Il n’est pas moins bien, moins plaisant, et n’est pas seulement utile aux préliminaires. Bien stimuler le clito avec la langue Le cunnilingus offre un plaisir humide, très agréable. Tout comme les femmes apprécient très souvent le plaisir clitoridien sous la douche, via la pression de l’eau. Embrasser le clitoris, le lécher, est un art qui se pratique tout en douceur. On choisit une position dans laquelle on se sent complètement à l’aise. On ferme les jambes ou bien les écartent. On relâche la tête en arrière pour s’abandonner ou on regarde la scène pour éveiller ses sens et s’exciter visuellement. Tout est permis. L’idéal est de prendre son temps, de ne jamais presser le cunnilingus, acte très sensuel pendant laquelle on peut stimuler d’autres zones érogènes, comme l’entrée du vagin ou les seins, en proposant des pauses. Chez celle qui reçoit le cunnilingus, le plus important c’est de lâcher prise ! Histoire de kiffer son plaisir ! La stimulation du clitoris à deux Durant les préliminaires ou pendant l’acte sexuel, le pénis peut stimuler le clitoris. Le gland est également très sensible et serait composé d’environ 10000 terminaisons nerveuses. Cette pratique est un délice pour les deux partenaires. Au-delà des sensations éprouvées - résultat de la rencontre entre deux parties du corps très fines - la dimension érotique de ce geste promet énormément d’excitation. Autrement dit, c’est l’idée même de frotter le gland contre le clitoris qui nous fait entrer dans un monde fantasmatique. On visualise la scène, ou bien on la regarde, et on prend conscience d’être au cœur même du plaisir sexuel. Stimuler le clitoris pendant la pénétration Longtemps, nous avons classé le plaisir féminin en un orgasme clitoridien et un orgasme vaginal. Or, le plaisir féminin est un tout. Il n’existe « qu’un » orgasme, vécu différemment selon les femmes, les heures, les circonstances, et les caresses. On parle alors de stimulation externe et de stimulation interne. Le clitoris est certes visible, mais il mesure en réalité dix centimètres. Il est composé de racines qui entourent le vagin. Le fameux point G, selon les dernières recherches, ne serait finalement un point précis en contact avec le clitoris. Stimuler l’entrée du vagin, sans grand va-et-vient et sans chercher la profondeur, mais en caressant les parois, serait donc le moyen de stimuler son clitoris sous un autre angle pour un plaisir global et puissant. La stimulation du clitoris : c’est bon pour le moral ! La bonne nouvelle, c’est que les bienfaits de la stimulation du clito vont bien au-delà de nos espérances. La stimulation du clitoris peut avoir des effets positifs sur le moral et le bien-être général pour plusieurs raisons : Libération d'endorphines : Lorsqu'il est stimulé, le clitoris peut conduire à un orgasme, qui à son tour déclenche la libération d'endorphines dans le cerveau. Les endorphines sont souvent appelées "hormones du bonheur" car elles peuvent provoquer des sensations de plaisir et réduire la perception de la douleur. Réduction du stress : L'acte de se masturber ou d'avoir une activité sexuelle peut aider à réduire le stress. Cela est dû à la libération d'autres hormones, comme l'ocytocine, qui peuvent favoriser la relaxation et le sentiment de bien-être. Amélioration du sommeil : Après un orgasme, de nombreuses personnes ressentent une sensation de somnolence ou de relaxation, ce qui peut conduire à un sommeil plus profond et plus réparateur. Renforcement de l'estime de soi : La découverte et l'appréciation de son propre corps peuvent renforcer l'estime de soi et la confiance en soi. Se sentir bien dans sa peau et être en phase avec sa propre sexualité peut avoir des effets positifs sur l'image corporelle et l'estime de soi. Renforcement des liens : Si la stimulation du clitoris se fait avec un partenaire, cela peut renforcer les liens émotionnels et la complicité entre les deux personnes, ce qui est également bénéfique pour le moral. Soulagement des douleurs menstruelles : Pour certaines femmes, la masturbation ou l'activité sexuelle pendant les règles peut aider à soulager les crampes menstruelles. Alors, prêt.e.s. à tenter l’aventure, pour un max de plaisir ?

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7 trucs à savoir sur la prostate (et le plaisir prostatique)

La prostate est une glande qui participe au plaisir sexuel. Mais que savons-nous vraiment de ses fonctions et de ses secrets ? 7 révélations. On te dévoile les 7 secrets de la prostate et nos conseils pour prendre un max de plaisir ! Quelles sont les 7 infos à connaître sur la prostate ? La prostate fait la taille d’une châtaigne Jusqu’à l’âge de 40 ans, la prostate ressemble à une châtaigne. Elle pèse environ 15 à 20 grammes. Ensuite, elle gagne progressivement en volume. On peut alors la comparer à un petit abricot, voire une clémentine. Cette hypertrophie est bénigne mais peut entraîner des troubles urinaires. La prostate ne chôme pas, elle participe à la production de sperme N’allez pas imaginer que la prostate ne fait rien de ses journées. Au contraire ! Sa mission principale ? Fabriquer du liquide séminal pour protéger et nourrir les spermatozoïdes, et leur permettre de se déplacer. En somme**, la prostate ajoute du liquide à la rivière !** En parallèle, elle est sollicitée ponctuellement, lors de l’éjaculation : elle expulse le sperme pour qu’il sorte du pénis. La prostate se situe sous la vessie Parler de prostate, de plaisir prostatique et d’orgasme prostatique, c’est bien, mais encore faut-il situer sa prostate pour la rencontrer ! Elle se loge sous la vessie et est accessible par le toucher rectal, à environ 7 centimètres de l’entrée du rectum, d’où la « nécessité » de passer par la porte arrière pour la stimuler. On peut ressentir du plaisir prostatique en stimulant le périnée On peut également stimuler la prostate en massant la partie externe des muscles pelviens – sous les bourses, pour générer des contractions périnéales qui se répercutent alors sur la prostate. Elle sera « titillée » indirectement, pour votre plus grand plaisir. Le plaisir prostatique peut donner envie de faire pipi Si vous avez envie d’uriner lors des rapports sexuels, et notamment quand la prostate est stimulée, c’est normal. La vessie étant la voisine de la prostate, elle est également titillée. Les sextoys peuvent accompagner le plaisir prostatique Pour partir à la rencontre de son plaisir prostatique, on peut utiliser des sextoys. Capables de mettre à l’aise, ils sont spécialement conçus pour stimuler cette zone intime en douceur. Le recours à un relaxant anal ou un lubrifiant spécial anal sera également de mise, puisque l’anus ne lubrifie pas naturellement. Pour jouir davantage, on peut imaginer sa prostate Le plaisir masculin, contrairement aux idées reçues, n’est pas seulement externe puisqu’il ne se limite pas au seul pénis ! Néanmoins, la prostate étant cachée, il n’est pas toujours simple d’envisager le plaisir prostatique. Que l’on débute ou pas, on peut mettre en route son cerveau et imaginer sa prostate pour se connecter à cette glande et en ressentir tout le plaisir octroyé. C’est aussi là un excellent moyen d’obtenir un orgasme prostatique, plus diffus et plus profond. Nos conseils pour avoir plus de plaisir prostatique Il est important de noter que le plaisir prostatique peut varier considérablement d'un individu à l'autre, et ce qui est agréable pour une personne peut ne pas l'être pour une autre. De plus, la stimulation de la prostate n'est pas nécessairement agréable pour tous les hommes, et certains peuvent ne pas ressentir de plaisir particulier de cette activité. Pour en profiter au maximum, on vous a préparé quelques conseils pour décupler votre plaisir prostatique (si c’est votre truc évidemment !). Se faire confiance et avoir confiance La confiance en soi et en l'autre est un élément essentiel pour prendre du plaisir, que ce soit dans une relation intime ou dans d'autres aspects de la vie. Avoir confiance en soi permet d'exprimer ses désirs et ses besoins sans crainte de jugement, et d'être ouvert à l'exploration de nouvelles expériences. La confiance en l'autre, quant à elle, crée un espace sûr où les deux parties peuvent se sentir à l'aise pour partager et explorer ensemble. Elle permet une communication ouverte et honnête, essentielle pour comprendre et respecter les limites et les désirs de chacun. Cette confiance mutuelle crée une connexion plus profonde et enrichissante, permettant aux individus de se détendre et de profiter pleinement du moment présent. Dans une relation intime, cette confiance peut ouvrir la porte à une plus grande intimité et à un plaisir partagé, renforçant ainsi le lien entre les partenaires. C’est dans ce type de relation qu’on peut avec douceur et respect, essayer le plaisir prostatique avec son ou sa partenaire ! Le lubrifiant est clé dans le plaisir prostatique Quand on joue à ce genre de coquineries, on met TOUJOURS le lubrifiant au premier plan. C’est d’ailleurs pour ça qu’on a fabriqué le nôtre (bio et respectueux du corps bien entendu) Voici toutes les bonnes raisons d’utiliser du lubrifiant quand on se tente au plaisir prostatique : Augmentation du plaisir : l’utilisation du lubrifiant permet de mieux faire glisser les doigts ou les jouets, ce qui augmente le plaisir ! Réduction de la friction: le lubrifiant réduit la friction entre les surfaces en contact, comme la peau contre la peau ou la peau contre les jouets sexuels. Cela peut rendre l'activité sexuelle plus confortable et agréable. Prévention des irritations: en réduisant la friction, le lubrifiant peut également aider à prévenir les irritations et les écorchures qui peuvent survenir lors de rapports sexuels prolongés ou vigoureux. Amélioration de l'expérience sexuelle: pour certaines personnes, l'utilisation de lubrifiant peut augmenter la sensation et le plaisir. En effet, le lubrifiant permet d’aller plus loin, d’utiliser des jouets et fait donc les choses en douceur. Cela nous donne aussi envie de plus explorer notre corps. Facilitation de la pénétration: le lubrifiant peut faciliter la pénétration, rendant l'expérience plus agréable pour les deux partenaires. Cela peut être particulièrement utile dans le cas de la pénétration anale, où il n'y a pas de lubrification naturelle. Compatibilité avec les jouets sexuels: certains lubrifiants sont spécialement conçus pour être utilisés avec des jouets sexuels, améliorant l'expérience et protégeant les matériaux des jouets. Variété et Exploration: Il existe une grande variété de lubrifiants disponibles, y compris ceux qui sont parfumés, aromatisés, ou qui procurent des sensations de chaleur ou de froid. Cela peut ajouter une dimension supplémentaire d'exploration et de plaisir à l'expérience sexuelle. Maintenant que tu connais les 7 grands secrets de la prostate et que tu es initié au plaisir prostatique, c’est le moment d’aller tester ça en live, en solo ou avec ton ou ta partenaire ! Alors prêt.e pour prendre un max de plaisir ?  

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5 façons de revisiter le bon vieux missionnaire

Position sexuelle connue de tous et ultra-confortable, le missionnaire n’est ni ennuyeux ni assoupissant. Il suffit de le revisiter pour se convaincre de son charme et prendre un plaisir fou. Nos conseils pour s’amuser dans la position du missionnaire Les bases du missionnaire       Ici, vous découvrirez la position du missionnaire fermé, une légère variante de la position standard. Plus d'infos en image ? RDV sur notre compte Instagram ! Dans une configuration hétérosexuelle, la position du missionnaire se présente ainsi : la femme est allongée sur le dos et l’homme est allongé sur elle pour la pénétrer. Simple ? Peut-être. Mais confortable et gage de plaisir ! Pour aller plus loin, ce missionnaire aux allures classiques et routinières peut être revisité. Que faire pour le booster ? Extraire tout son potentiel érotique ? Atteindre des orgasmes plus surprenants ? Nos idées. Comment revisiter la position du missionnaire ? Un missionnaire… avec un coussin Dans cette première variante, la femme place un coussin au niveau de ses lombaires, soit dans le bas du dos. Le coussin doit être petit (pas la peine de se munir d’un énorme oreiller, qui serait plus encombrant qu’autre chose !). Il permet de se cambrer en douceur pour un nouvel angle de pénétration. GOLIATE aime parce que le missionnaire est une position confortable, et le missionnaire avec un coussin est une position encore plus confortable ! Et le confort est loin d’être incompatible avec le plaisir, au contraire. Un missionnaire… au bord du lit Et si on proposait à son missionnaire de… glisser légèrement ? Les partenaires peuvent se rapprocher du bord du lit : la femme pose ses pieds au sol (tandis qu’elle est allongée) et l’homme la pénètre. Cette position est presque une réplique inversée du missionnaire avec un coussin, puisque cette fois, la femme ne cambre pas et l’angle de pénétration est à l’opposé de la variante précédente. ***GOLIATE aime parce qu’***être au bord du lit ajoute du piment et une grosse touche d’érotisme au missionnaire. Un missionnaire… les jambes levées L’avantage du missionnaire les jambes levées, c’est qu’il offre la possibilité de varier l’angle de pénétration à sa guise, et toutes les deux minutes si on le souhaite ! Pour cela, la femme écarte ses jambes en l’air. Durant la pénétration, l’homme peut ressentir beaucoup de plaisir et d’aisance tant l’ouverture des jambes fluidifie la rencontre et la fusion. GOLIATE aime parce que lever les jambes peut se faire quand on le désire. Rien n’empêche de revenir à un missionnaire plus classique l’instant d’après. Ce mouvement des jambes invite ainsi à toutes les variantes et à tous les plaisirs. Le missionnaire… qui s’enroule Ici, les jambes levées se referment autour du torse du partenaire, qui se retrouve alors enveloppé. En étant accrochée à son partenaire, la femme suit d’autant plus le mouvement de la pénétration. Cette position permet aux deux partenaires de ne faire qu’un et d’aller plus loin dans le plaisir. GOLIATE aime parce que c’est le moment de ralentir la pénétration façon va-et-vient et de jouer avec une pénétration circulaire. Le moment rime avec fusion et le partenaire peut, avec son pénis, caresser les parois vaginales de sa partenaire. Le missionnaire… façon manège Une fois en place, le missionnaire peut monter dans le grand manège du plaisir et de la surprise. Pourquoi rester l’un sur l’autre, sans chercher à perdre le nord ? Ainsi, on peut rouler, se retrouver sur le flanc, ou bien inverser les rôles. En étant sur son partenaire, la femme est dans une position qui nous évoque l’Andromaque, mais dès lors qu’elle garde les jambes un minimum fermées et qu’elle ne se redresse pas, on est dans un missionnaire à l’envers ! GOLIATE aime parce que en tournant et en jouant avec son missionnaire, on prend un plaisir fou à revenir au missionnaire de départ. Il ressemble à une pause, un moment complice où l’on reprend son souffle. C’est exquis. Il y a même d’autres manières pour réinventer cette position du missionnaire et on vous les donne juste en dessous. Notre jouet préféré à utiliser quand on fait un missionnaire ? Chez Goliate, on adore vous délivrer nos meilleurs conseils ! C’est pour cette raison qu’on vous a sélectionné notre jouet préféré pour la position du missionnaire ! C’est notre sublime Stimulateur clitoridien combiné : The Amazing ! Comment utiliser notre jouet préféré lors d’un missionnaire ? Monsieur est au-dessus et réalise une douce pénétration Entre vos deux corps, vous positionnez The Amazing Madame verra son plaisir clitoridien décuplé pour aller directement… dans les étoiles D’autres idées pour pimenter la position du missionnaire Tentez l’aventure pour découvrir le Deep Spot de votre partenaire : la position du missionnaire est idéale pour ça ! Essayez les mots coquins en vous initiant au Dirty Talk : de quoi faire monter la température bien au-delà de vos habitudes. La position du missionnaire (particulièrement celle avec le coussin) est aussi idéale pour permettre à votre partenaire féminine d’éjaculer comme une “femme fontaine”. Le missionnaire, une position idéale pour créer de la complicité La position du missionnaire est souvent considérée comme une position idéale pour créer de la complicité entre les partenaires pendant les rapports sexuels. Cette perception est en grande partie due à la proximité physique et à l'orientation face à face que permet cette position. Les partenaires peuvent se regarder dans les yeux, ce qui favorise une connexion émotionnelle et une communication non verbale. De plus, la position du missionnaire permet souvent un contact physique étendu, non seulement au niveau des organes génitaux mais aussi des mains, des bras et du haut du corps. Cette proximité peut renforcer le sentiment d'intimité et de confiance entre les partenaires. La position permet également un contrôle mutuel du rythme et de la profondeur, ce qui peut contribuer à une expérience plus attentive et réceptive aux besoins et aux désirs de chacun. En somme, la position du missionnaire peut faciliter une expérience sexuelle plus connectée et empathique, renforçant ainsi la complicité entre les partenaires. Sur ce, on espère vivement que vous allez adorer revisiter cette position et continuer à prendre un maximum de plaisir.

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La technique de l'alignement coital pour augmenter son plaisir

La méthode du CAT, pour coïtal alignement technique, se joue durant la pénétration et plus particulièrement la position du missionnaire. Grâce à elle, les femmes peuvent découvrir de nouvelles sensations et des orgasmes plus intenses. Pourquoi tester la technique de l’alignement coïtal ? Le sexe pénétratif a beaucoup de qualités, mais il a aussi un défaut : à force de va-et-vient, le plaisir féminin se sent parfois mis de côté. En effet, plusieurs études nous montrent que la pénétration seule n’est pas idéale pour atteindre l’orgasme. Cela ne signifie pas qu’il faut l’éviter, seulement qu’une double stimulation – on inclut alors des caresses vulvaires et clitoridiennes – est la bienvenue. Et la méthode du CAT – CAT pour coïtal alignment technique – s’y emploie : cette pratique propose aux deux partenaires de quitter les schémas pénétra tifs habituels et de réinventer la pénétration pour davantage de plaisir et de fusion. La méthode du CAT ou comment se positionner pour maximiser le plaisir C'est une approche qui a fait son chemin dans le monde de l'intimité, et pour de bonnes raisons. Originaire des recherches du Dr. Beverly Whipple, une sexologue Américaine, cette technique met l'accent sur le positionnement optimal pendant les rapports sexuels pour maximiser la stimulation clitoridienne. En gros, c'est une manière de redéfinir la position du missionnaire. L'histoire derrière la technique La technique de l'alignement coïtal n'est pas simplement une nouvelle tendance passagère. Elle a des racines profondes dans la recherche scientifique. Dans les années 1980, le Dr. Whipple, en collaboration avec le Dr. Barry Komisaruk, a commencé à étudier la physiologie de l'orgasme féminin. Leur travail a révélé que le clitoris joue un rôle central dans le plaisir féminin, et que sa stimulation directe ou indirecte peut conduire à des orgasmes plus intenses et satisfaisants. Comment réaliser l’alignement coital ? La technique elle-même est assez simple. Lors des rapports sexuels en position de missionnaire, l'homme se positionne légèrement plus haut sur le corps de la femme. Cela permet une pression et une friction accrues sur le clitoris. Le mouvement n'est pas tant un va-et-vient typique, mais plutôt un mouvement de balancement ou de meulage. Cela favorise une stimulation clitoridienne constante, augmentant ainsi les chances d'atteindre l'orgasme pour la femme. Alors, la prochaine fois que vous cherchez à pimenter les choses dans la chambre, pourquoi ne pas essayer la technique de l'alignement. Alors concrètement, ça se passe comment ? Pour pratiquer la méthode du CAT, on se… pénètre (pour commencer). Mais cette fois, on quitte nos habitudes. Plutôt que d’aller et venir (on connaît), on joue de nos bassins et on ondule ensemble. Pour cela, le partenaire, placé au-dessus, s’allonge sur sa partenaire. S’il ne doit pas l’écraser (ce serait dommage), il ne doit pas hésiter à s’affaler un minimum, l’idée étant d’être très proches et collés. La partenaire, en-dessous, tendra les jambes et ne les écartera pas beaucoup. L’important à retenir, c’est que les deux corps sont ainsi alignés. Et ils doivent être alignés, comme le précise le nom de la technique. Ensuite, on remue nos corps. En d’autres mots, on se tortille. Une pratique qui invite à la stimulation des parois vaginales (bien souvent négligées quand il s’agit d’aller droit au fond du tunnel) et de la vulve, puisque les pubis sont en contact. Et on le sait, le gland du clitoris, qui se situe au sommet de la vulve, aime être de la partie ! Et comme toujours, pour plus de douceur, on fait ça avec un joli lubrifiant naturel des familles. L’alignement coital, ce n’est pas pour tout le monde non plus À noter tout de même que pour les filles qui sont très sensibles du clitoris, cette technique est peut-être à éviter ou à tester avec beaucoup de douceur. En effet, même si c’est à la mode, c’est possible que tu n’aimes pas les sensations et c’est complètement ok. Mais, il y a plein de personnes pour qui cette technique reste une excellente idée pour pimenter sa vie sexuelle. Les curieux du plaisir Si vous êtes du genre à toujours chercher de nouvelles façons d'explorer et d'améliorer votre vie intime, cette technique est faite pour vous. Que vous soyez en couple depuis des années ou que vous veniez de rencontrer quelqu'un, l'alignement coïtal est une excellente façon de redécouvrir le plaisir à deux. Les adeptes du renouveau Vous en avez marre de la routine ? Vous avez l'impression d'avoir tout essayé ? L'alignement coïtal pourrait bien être cette petite étincelle qui rallume la flamme. C'est une méthode simple, mais qui peut apporter un renouveau dans votre intimité. Les sceptiques du clitoris Si vous ou votre partenaire avez toujours eu du mal à comprendre l'importance du clitoris dans le plaisir féminin, c'est l'occasion de le découvrir. Cette technique met l'accent sur la stimulation clitoridienne, et pourrait bien vous faire changer d'avis sur son rôle central. Les amoureux du partage vont adorer La technique de l'alignement coïtal n'est pas seulement pour le plaisir de la femme. C'est une expérience partagée, où les deux partenaires peuvent ressentir une connexion plus profonde et un plaisir mutuel. Alors, toi-aussi tu vas tester la méthode du CAT ?  

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LE VAGINISME : QUELLES SOLUTIONS POUR EN SORTIR ?

Dû à une contraction musculaire involontaire des muscles qui entourent le vagin, le vaginisme rend la pénétration douloureuse voire impossible. Comment le traiter et retrouver une vie sexuelle épanouissante ? D’où vient le vaginisme ? Derrière le terme vaginisme, il y a celui de vagin. Mais le vaginisme n’est pas un problème de vagin, ni non plus un problème gynécologique ; généralement, le vagin se porte bien. Le vaginisme est un trouble sexuel lié à une contraction involontaire des muscles qui entourent le vagin. Qu'est-ce que le vaginisme ? Le vaginisme, c'est cette réaction involontaire des muscles entourant l'entrée du vagin, qui se contractent, rendant la pénétration inconfortable, voire impossible. Plus qu'une simple réaction physique, c'est un mélange complexe d'émotions, d'influences culturelles et de facteurs psychologiques. Des idées préconçues sur la sexualité, des traumatismes passés ou simplement la peur de la douleur peuvent en être à l'origine. Mais chaque expérience est unique, et il est essentiel de se rappeler que le vaginisme ne se définit pas par une liste de symptômes. Les signes révélateurs du vaginisme Le symptôme le plus courant ? Une difficulté, voire une impossibilité, à accepter une pénétration sans douleur. Mais cela va au-delà de la simple douleur physique. Cela peut engendrer une appréhension face à l'intimité, une image corporelle altérée et une sensation d'être hors de contrôle. Qu’est ce qui se cache derrière le vaginisme ? Cette contraction empêche alors la pénétration. C’est comme si le vagin se refermait. Médicalement parlant, on distingue le vaginisme partiel (à ce moment-là, le sujet n’a aucune difficulté à insérer un tampon, une cup, un ovule, seule la pénétration coïtale est rendue impossible) du vaginisme total (dans ce cas, toute « intrusion » est impossible), mais aussi le vaginisme primaire (présent depuis toujours) du vaginisme secondaire (qui survient plus tard au cours de la vie, alors que tout allait bien jusqu’ici). Mais pourquoi les muscles du périnée se verrouillent-ils et comment traiter le vaginisme ? Peur d’avoir mal et peur du pénis Quand on parle de vaginisme, on parle donc de contraction réflexe des muscles du vagin : on « voudrait » faire l’amour, mais quelque chose bloque, le corps refuse. En cause, souvent, des dyspareunies, c’est-à-dire des douleurs pendant les rapports. A force de douleurs, d’une pénétration mal vécue, le vagin choisit de se fermer pour ne pas « revivre » cette expérience. Dans d’autres cas, on peut évoquer au sens large la peur du pénis, due à une vision déformée du sexe masculin (on l’imagine très gros, tandis qu’on imagine son vagin tout petit), des abus sexuels qui ravivent chez le sujet une peur de souffrir. Nous pouvons aussi questionner le regard que l’on pose sur la sexualité, ou bien ce que l’on a entendu sur la sexualité. Une femme, par exemple, qui estime que le sexe est « sale », peut souffrir de vaginisme dans la mesure où elle ne s’autorise pas la sexualité. Bien entendu, tout cela ne signifie pas que des dyspareunies, un abus sexuel, ou encore une vision « négative » de la sexualité entrainent forcément du vaginisme. Quelles solutions pour traiter le vaginisme ? Sans dire que le vaginisme est purement « dans la tête », il convient d’admettre, tout de même, son caractère psychologique, si bien qu’un suivi psy peut être d’une grande aide. Mais il existe d’autres solutions parallèles pour en sortir et réapprivoiser son corps. A savoir, déjà, que le vaginisme n’empêche pas toujours une sexualité épanouie : la pénétration est, à tort, la pièce maîtresse du rapport sexuel. Or, on peut prendre du plaisir en pratiquant une sexualité dite « de préliminaires », grâce à des caresses externes, notamment via une stimulation de la vulve (et donc du gland du clitoris), des seins, du ventre… Cette « façon de faire » permet aux femmes de se détendre, de lubrifier, et de réaliser que leur corps est toujours de la partie. Un constat positif plus qu’utile à la guérison. Se soigner du vaginisme pas à pas Ensuite, les spécialistes suggèrent généralement de prendre son temps : les muscles du vagin, s’ils se contractent, ne se contractent pas pendant des heures durant. Lors d’un rapport de confiance, avec du lubrifiant, de la douceur et des caresses externes pour s’apaiser, il est possible de « jouer » à l’entrée du vagin. C’est aussi à envisager avec des baumes intimes naturels comme celui de chez Goliate, qui aident même à apaiser. L’idée n’est pas du tout de forcer le passage, mais de montrer à son corps, centimètre par centimètre, qu’il peut se détendre. Le vagin est tel un collant : c’est quand on met la jambe dedans qu’il s’ouvre. Même si oui, ici, on ne parlera pas de jambe (ambiance) mais d’un doigt, puis d’un pénis. Si, bien entendu, la douleur est présente et la pénétration impossible, on reprend la sexualité de préliminaires, on s’amuse autrement, pour ne pas perdre en confiance. Des solutions concrètes pour se soigner du vaginisme Le chemin vers la guérison est multidimensionnel, tout comme le vaginisme lui-même. Voici quelques étapes pour vous guider : Consultez un professionnel : Un gynécologue est souvent le premier pas vers la compréhension et le traitement. Kinésithérapie spécialisée : Un kiné spécialisé en pelvi-périnéologie peut vous aider à reconnecter avec votre corps. Dilatateurs vaginaux : Sur conseil médical, ces outils peuvent aider à familiariser votre corps avec la pénétration. Hypnothérapie : Si le blocage semble être d'ordre psychologique, l'hypnothérapie peut être une voie à explorer. Enfin, la masturbation reste aussi une piste à explorer : la peur du pénis et, parfois, la peur d’un rapport trop virulent, expliquent en partie le vaginisme. La masturbation permet alors, en solo, de partir à la rencontre de son corps et de se rassurer : ça va, ça se passe bien. Une « victoire » qui invite, ensuite, à partager un rapport sexuel dans une nouvelle dimension. Si, à deux, ça bloque encore et toujours, il convient alors de faire le point : qu’est-ce qui me gêne dans cette configuration ? Dans la pratique de la pénétration ? Des éléments de réponse à partager ensuite avec un spécialiste le cas échéant.

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